Le 21 février 2022, le secteur Communication de l’OIB écrivait à propos de la nouvelle politique immobilière :
« Même si toutes les DG et services participeront au changement, celui-ci sera progressif et, en tant qu’organisation, nous nous appuierons sur les leçons tirées pour aller de l’avant. Les DG et les services qui déménagent dans de nouveaux bureaux sont activement impliqués dans la conception de leur environnement de travail et peuvent adapter l’aménagement en fonction de leurs besoins spécifiques et sur la base de l’expérience acquise. » (Politique immobilière à Bruxelles (europa.eu)) Bel effet d’annonce publié urbi et orbi sur My Intracomm qui ne correspond pas à la réalité. Car nous venons d’apprendre que l’OIB négocie la location d’un immeuble près de la gare du Nord destiné à reloger les agences exécutives et la DG CONNECT, sans se concerter avec les organisations syndicales des différentes institutions ni avec le personnel concerné. Après celui du Loi 107, voici un nouvel exercice mené tambour battant par l’OIB, alors même que les leçons du « One-disaster » n’ont pas encore été tirées et le dossier d’évaluation est sur la table du CPPT. Il est grand temps de mettre de l’ordre dans ce chaos et que l’OIB respecte ses engagements (cf : plus haut). L’Union Syndicale appelle par conséquent la DG HR à imposer au nom de sa gouvernance sur l’OIB les mesures qui s’imposent, à savoir et notamment :
Faute de quoi, la grande machinerie immobilière de l’OIB continuera à être, et pour longtemps, une fabrique à burn-outs. . |